Etudier et valider les facteurs pronostiques chez les patients en début de prise en charge pour un cancer métastatique et hospitalisés d’emblée. Il s’agit donc de patients porteurs de maladies particulièrement graves, pour lesquels le traitement spécifique est à la fois la seule chance possible, mais régulièrement toxique et inefficace. Il existe des facteurs pronostiques validés dans la littérature à différents stades de la maladie, mais leur pertinence au diagnostic initial dans ce contexte est à valider, et les études existantes ont pour la plupart eu lieu avant l’aire des bio-marqueurs et des thérapies ciblées. L’intégration de ces derniers points dans la modélisation en augmentera la pertinence clinique et l’originalité scientifique.
Directeur Général
Entre 100 et 150 patients.
Patients avec une tumeur solide métastatique récemment diagnostiquée (<3 mois) ET hospitalisé en unité de soins intensifs, unité de surveillance continue ou unité d'oncologie conventionnelle pour la prise en charge d'une tumeur solide métastatique ET naïf de traitement antinéoplasique systémique ou l’ayant débuté il y a moins de 7 jours, qu'il y ait une perspective de traitement antinéoplasique ou non.
Recherche scientifique menée dans l’intérêt légitime de lutte contre le cancer (articles 6.1.f et 9.2.j du Règlement (UE) n° 2016/679)
Dr Lauriane EBERST, oncologue, Institut de Cancérologie Strasbourg Europe
Colin VERCUEIL, interne DES Oncologie médicale, Institut de Cancérologie Strasbourg Europe
Pr Gisèle CHVETZOFF, oncologue, Centre Léon Bérard
Romain VARNIER, interne DES Oncologie médicale, Centre Léon Bérard
Dr Aline HENRY, oncologue, Institut de Cancérologie Lorraine
Pr Carole BOULEUC, oncologue, Institut Curie
Dr Romain SEBAN, assistant spécialiste en oncologie, Institut Curie
Dr Julien PAVILLET, oncologue, CHU Grenoble-Alpes
2 ans après la publication scientifique