Comparer l’évolution de l’hormone anti-müllerienne au cours de la chimiothérapie néo-adjuvante selon la présence ou l’absence de variant pathogène constitutionnel de BRCA1 ouBRCA2.
Etudier le lien entre la variation de l’hormone anti-müllerienne au cours de la chimiothérapie néo-adjuvante et :
- la variation du volume tumoral à la fin de la chimiothérapie néo-adjuvante
- la réponse au traitement à la fin de la chimiothérapie néo-adjuvante selon les critères RECIST (stade précoce)
- la survie sans récidive à 5 ans de l’arrêt de la chimiothérapie
Centre Oscar Lambret, Lille
Patientes entre 18 et 37 ans atteintes d’un cancer du sein pris en charge au centre Oscar Lambret de Lille et traitées par chimiothérapie néoadjuvante par un inhibiteur de la topoisomérase 2.
Echantillons biologiques issus du soin.
Le traitement est nécessaire à l'exécution d'une mission d'intérêt public (Art. 6.1.e du règlement (UE) 2016/679). Il est réalisé à des fins de recherche scientifique (Art. 9.2.j du règlement (UE) 2016/679).Population faisant l’objet de la recherche ou du traitement de données.
Centre Oscar Lambret, Lille
Les données obtenues dans le cadre de cette recherche seront conservées jusqu’à deux ans après la dernière publication des résultats de la recherche, ou en cas d’absence de publication, jusqu’à la signature du rapport final de la recherche. Elles feront ensuite l’objet d’un archivage sur support papier ou informatique pour une durée de 30 ans à compter de la fin de la recherche.