Etude prospective, multicentrique évaluant
L’objectif principal est de décrire les pratiques d’utilisation de la kétamine à visée antalgique dans les centres de lutte contre le cancer français en termes de :
- Indication (douleurs séquellaires neuropathiques, effet additionnel des morphiniques ou sevrage morphinique), intensité, localisation…,
- Protocole d’administration (voie, posologie, durée, séquence d’administration, prémédication)
- Les objectifs secondaires sont d’évaluer dans un contexte d’oncologie :
- l’efficacité antalgique
- le profil de tolérance (toxicités cliniques et biologiques)
- la qualité de vie, incluant anxiété et dépression
Directeur Général
Nombre de patients attendus : Minimum 150 Population : Patient âgé de 18 ans ou plus Patient suivi (traité ou en cours de traitement) pour une tumeur solide ou une hémopathie maligne Patient présentant des douleurs chroniques du cancer ou post-traitement du cancer Patient suivi dans une consultation ou un centre de lutte contre la douleur chronique rebelle des CLCC Patient avec indication d’une première cure de kétamine : - à visée antalgique pour une douleur chronique du cancer - à visée antalgique pour une douleur chronique post traitement du cancer - dans le cadre d’une aide au sevrage d’un traitement opiacé prescrit pour une douleur chronique en cancérologie Patient n’ayant pas déjà été traité par de la kétamine Patient affilié à un régime de sécurité sociale Patient et/ou représentant légal ne s’étant pas opposé au recueil de données après avoir reçu une information complète. Prélèvements : Aucun
Recherche scientifique menée dans l’intérêt légitime de lutte contre le cancer (articles 6.1.f et 9.2.j du Règlement (UE) n° 2016/679)
Dr. Gisèle CHVETZOFF – Centre Léon Bérard – Lyon, DISPO
Dr. David PEROL – Centre Léon Bérard – Lyon, Responsable DRCI, CLB
Julien GAUTIER – Centre Léon Bérard – Lyon, Chef de projets, DRCI, CLB
Zohra AKKAL – Centre Léon Bérard – Lyon, Coordinatrice de projet
Emilie REMIR – Centre Léon Bérard – Lyon, Data manager
Sylvie CHABAUD – Centre Léon Bérard – Lyon, Statisticienne
2 ans après la publication scientifique. Archivage ensuite pour une durée maximale de 20 ans.