Objectif principal
Évaluer l'association entre la consommation d'inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) et la survie sans récidive de patients traités pour un cancer rectal localement avancé réséqué recevant un traitement multimodal avec radio-chimiothérapie à base de capécitabine, globalement sur l’ensemble des patients de l’essai PRODIGE23 ayant reçu une radiochimiothérapie.
Objectifs secondaires :
- Évaluer l'association entre la consommation d'IPP et
- le contrôle local, le risque de métastases (différentes composantes de la survie sans récidive)
- la réponse histologique complète (ypT0N0)
- la survie globale (à titre exploratoire)
globalement sur l’ensemble des patients de l’essai PRODIGE23 ayant reçu une radiochimiothérapie.
- Evaluer l'association entre la consommation d'IPP et ces différents critères de jugement (DFS, contrôle local, survie globale et réponse histologique),
- en fonction du bras de randomisation (bras contrôle, CRT, versus bras expérimental avec Folfirinox en néoadjuvant, TNT) avec étude de l’interaction entre la prise d’IPP et le bras de traitement
- en fonction du type de traitement adjuvant (à base de Capécitabine versus Folfox) avec étude de l’interaction entre la prise d’IPP et le type de traitement adjuvant
Évaluer l'association entre la consommation d'IPP et la sécurité des traitements des cancers rectaux localement avancés réséqués, globalement et pour dans chaque bras de l’essai PRODIGE23.
Centre Oscar Lambret, Lille
Patients inclus dans l’essai de phase III, PRODIGE 23, quel que soit le groupe de traitement randomisé et le type de traitement adjuvant reçu.
Le traitement est nécessaire à l'exécution d'une mission d'intérêt public (Art. 6.1.e du règlement (UE) 2016/679). Il est réalisé à des fins de recherche scientifique (Art. 9.2.j du règlement (UE) 2016/679).Population faisant l’objet de la recherche ou du traitement de données.
Centre Oscar Lambret, Lille
CHU de Lille
Les données obtenues dans le cadre de cette recherche seront conservées jusqu’à deux ans après la dernière publication des résultats de la recherche, ou en cas d’absence de publication, jusqu’à la signature du rapport final de la recherche. Elles feront ensuite l’objet d’un archivage sur support papier ou informatique pour une durée de 30 ans à compter de la fin de la recherche.