Notre proposition d’étude s’appuie sur l’observation clinique rapportée dans plusieurs séries rétrospectives concernant l’association entre l’utilisation de traitements cytotoxiques en rattrapage en post immunothérapie et des taux de réponse objective (TRO) et de contrôle de la maladie (TCM) beaucoup plus élevés que ceux historiquement rapportés dans ces situations dans l’ère pré-immunothérapie. Ce phénomène est décrit dans plusieurs sous-types histologiques dont l’histoire naturelle, les facteurs de risque ou les caractéristiques génomiques différent. Actuellement, il est observé et décrit en hématologie dans les lymphomes, mais aussi et principalement dans les tumeurs solides dites « hot tumors » ou tumeurs chaudes comme les carcinomes urothéliaux, bronchiques, ou les carcinomes de la sphère ORL. Il n’existe que peu ou pas de données sur ce phénomène dans des tumeurs dites « froides » comme les sarcomes des tissus mous ou osseux.
Objectif principal :
A l’aide des données recueillies dans l’essai « ACSE Pembrolizumab, cohorte 1 sarcomes rares (NCT03012620), mesurer l’efficacité de la chimiothérapie post-immunothérapie chez les patients atteints de sarcomes des tissus mous et osseux.
DEBDS (CAL)
Dr Esma SAADA (CAL)
Dr Agnès DUCOULOMBIER (CAL)
Population étudiée : La population d’intérêt concerne les patients atteints de sarcomes des tissus mous et osseux, recevant de l’immunothérapie dans leur prise en charge, immunothérapie suivie d’une chimiothérapie de rattrapage dans la cohorte sarcome du programme ACSE PEMBROLIZUMAB.
INTERET PUBLIC
DEBDS (CAL)
Dr Esma SAADA (CAL)
Dr Agnès DUCOULOMBIER (CAL)
2 ans après l'exploitation des données