Décrire les caractéristiques cliniques, anatomopathologiques, immuno-histochimiques (panel d’immuno-histochimie analysant par Tissue-Micro-Array EMA, pan-cytokératine, PS100, GFAP, calponin, SMA, p63, SMARCB1/INI1 …) et moléculaires (signature CINSARC et analyse d’un panel de gènes) sur une série de tumeurs myo-épithéliales des parties molles et osseuses.
1) Décrire l’évolution de la maladie et les traitements mis en œuvre :
A) Pour les patients avec tumeurs localisées, décrire le taux de rechute locale, métastatique et la survie globale
B) Pour les patients avec maladie métastatique, décrire les traitements de 1ère ligne entrepris, leur efficacité (survie sans progression), les éventuels traitements focaux utilisés et la survie globale
2) Etude exploratoire des facteurs pronostiques : pour chacun des critères cliniques, anatomopathologiques, immunohistochimiques et moléculaires, analyser le lien avec les risques de rechute locale, de rechute métastatique et de décès liés à la tumeur
3) Décrire les pathologies considérées comme « tumeurs myo-épithéliales primitives des parties molles et osseuses » et finalement reclassées après relecture centralisée (description des «Mimicks»)
Centre Oscar Lambret, Lille
- Patient pris en charge pour une tumeur myo-épithéliale des parties molles ou osseuse (bénigne ou maligne)
- Enfant et adulte
- Au sein du Groupe Sarcome Français ou de la Société Française des Cancers de l’Enfant
- Entre 1990 et 2019
- Avec du matériel disponible (paraffine ou congelé) pour les analyses immuno-histochimiques et moléculaires
Le traitement est nécessaire à l'exécution d'une mission d'intérêt public (Art. 6.1.e du règlement (UE) 2016/679). Il est réalisé à des fins de recherche scientifique (Art. 9.2.j du règlement (UE) 2016/679).Population faisant l’objet de la recherche ou du traitement de données.
Centre Oscar Lambret, Lille
Les données obtenues dans le cadre de cette recherche seront conservées jusqu’à deux ans après la dernière publication des résultats de la recherche, ou en cas d’absence de publication, jusqu’à la signature du rapport final de la recherche. Elles feront ensuite l’objet d’un archivage sur support papier ou informatique pour une durée de 30 ans à compter de la fin de la recherche.