Evaluer l’utilité clinique de la technique de dépistage combiné du déficit en DPD par la proportion de patients nécessitant une réduction secondaire de la dose de 5FU ou Capécitabine
- Etablir l’incidence des déficits partiels retrouvés dans notre population
- Estimer l’incidence des toxicités spécifiques du 5FU en fonction du profil (déficit partiel versus pas de déficit versus non documenté) et de la dose de 5FU/Capécitabine administrée
- Evaluer les pratiques actuelles en termes d’implémentation des recommandations de dépistage : estimer la proportion de dépistage systématique, et de dépistage conforme aux recommandations qui étaient en vigueur en 2018 (phénotypage et génotypage), ainsi que les principales raisons de non dépistage.
- Décrire les trajectoires de patients en termes de modifications de doses au cours du temps en fonction des résultats du dépistage éventuel et des toxicités observées ou de l’absence de toxicité (majoration des doses en cas de bonne tolérance du traitement chez un patient étiqueté comme déficitaire)
Centre Oscar Lambret, Lille
- Patient > 18 ans
- Primo-prescription chimiothérapie à base de fluoropyrimidine
- Ayant eu au moins une cure de chimiothérapie à base de 5FU
- période du 1er mars 2018 (date de publication de recommandations de dépistage systématique) au 28 février 2019
- ayant donné sa non opposition à l’utilisation de ses données médicales (pour tous)
Critère spécifique à la cohorte 1
- patient ayant donné son consentement pour l’utilisation de leurs données génétiques (pour les patients dépistés)
Le traitement est nécessaire à l'exécution d'une mission d'intérêt public (Art. 6.1.e du règlement (UE) 2016/679). Il est réalisé à des fins de recherche scientifique (Art. 9.2.j du règlement (UE) 2016/679).Population faisant l’objet de la recherche ou du traitement de données.
Centre Oscar Lambret, Lille
Les données obtenues dans le cadre de cette recherche seront conservées jusqu’à deux ans après la dernière publication des résultats de la recherche, ou en cas d’absence de publication, jusqu’à la signature du rapport final de la recherche. Elles feront ensuite l’objet d’un archivage sur support papier ou informatique pour une durée de 30 ans à compter de la fin de la recherche.